On entend souvent : "À mon âge, c’est trop tard pour changer".
Que ce soit pour reprendre le sport, améliorer son alimentation, se lancer dans un nouveau projet ou revoir ses priorités, cette petite phrase agit comme un frein puissant.
Pourtant, changer après 40 ans n’est pas seulement possible, c’est souvent le moment idéal.
Votre corps, votre cerveau et votre énergie peuvent évoluer, peu importe votre âge.
D'ailleurs, la science le prouve ! La neuroplasticité, la régénération cellulaire et la capacité d’adaptation ne s’éteignent pas passé la quarantaine.
La clé ? Oser un premier pas, même minuscule.
Et découvrir qu’il n’est jamais trop tard pour transformer votre vie , en douceur, à votre rythme, mais pour longtemps.
Soyons honnêtes, cette petite phrase "C’est trop tard pour moi" n’apparaît pas par hasard.
Elle s’installe doucement, nourrie par plusieurs facteurs qui finissent par peser lourd sur notre motivation.
Depuis toujours, on nous souffle à demi-mot que certaines choses "ne se font plus" après un certain âge.
Changer de style, se remettre au sport, reprendre des études, lancer un projet… Ce serait "réservé" aux plus jeunes.
C’est pourquoi, à force d’entendre ce discours, on finit par y croire. Et on se prive de possibilités qui auraient pu changer notre quotidien.
Notre cerveau adore comparer.
Mais il oublie souvent un détail, à 20 ans, on avait un corps, un contexte, des priorités… complètement différents.
Vous n’êtes plus cette personne-là, et c’est une bonne nouvelle.
Vous avez gagné en expérience, en discernement et en connaissances sur vous-même.
Ce n’est pas un handicap, c’est un atout pour changer après 40 ans de façon plus durable et alignée.
Peut-être avez-vous déjà essayé… et abandonné.
Régime miracle, programme sportif trop intense, projets avortés faute de temps. À chaque échec, la petite voix du doute gagne du terrain : "Tu vois, je te l'avais dit que c’est trop tard".
En réalité, ce n’est pas votre âge qui pose problème, mais la méthode utilisée.
Alors qu'avec la bonne approche, adaptée à votre rythme et à vos besoins, le changement devient possible... et même agréable.
Plus on se répète qu’il est "trop tard", plus on agit comme si c’était vrai.
On reporte, on renonce, on se contente. Et chaque inaction vient renforcer cette croyance.
Mais dites-vous bien que ce cercle vicieux peut se briser dès aujourd’hui !
Parce qu’en vérité, changer après 40 ans est non seulement possible… mais souvent plus puissant qu’à n’importe quel autre moment de la vie.
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Vous la connaissez cette petite phares : “À partir d’un certain âge, c’est trop tard pour apprendre ou se transformer.”
Bonne nouvelle, la science dit exactement l’inverse !
Que ce soit au niveau de votre cerveau, de vos muscles ou de vos cellules, vous gardez toute votre capacité à évoluer.
Et parfois même… avec plus de résultats qu’à 20 ans, car vous savez mieux où mettre votre énergie.
La neuroplasticité, c’est la capacité de votre cerveau à créer de nouvelles connexions et à se réorganiser tout au long de votre vie.
Contrairement à ce qu’on croyait autrefois, ce processus ne s’arrête pas à l’enfance. Il est présent… jusqu’à votre dernier souffle.
Cela veut dire que vous pouvez :
Apprendre une langue étrangère à 50 ans
Commencer le piano à 60 ans
Maîtriser une nouvelle compétence professionnelle à tout âge
Et plus vous stimulez votre cerveau, plus il devient agile. Comme un muscle, il aime être challengé.
C'est pourquoi il est recommandé de variez les stimulations.
Par exemples, vous pouvez lire un livre différent de vos habitudes, cuisiner une recette exotique ou encore changer votre trajet habituel.
Vous verrez, ce sont ces petites nouveautés qui entretiennent la souplesse mentale.
Votre corps, lui aussi, est loin d’être figé.
Chaque jour, vous fabriquez de nouvelles cellules (peau, intestin, sang…) tout se renouvelle en permanence.
Et pour vos muscles, c’est pareil. Même à 60 ans, vous pouvez reconstruire de la masse musculaire grâce au renforcement musculaire et à une alimentation adaptée.
En effet, des recherches ont montré que même après 70 ans, un programme de musculation progressive de 10 à 12 semaines peut entraîner des gains de force impressionnants. Parfois supérieurs à 25 % ainsi qu’une amélioration significative de la mobilité et de l’autonomie.
Donc, s’il y a un message à retenir, c’est bien celui-ci : votre âge n’est pas une barrière biologique.
C’est simplement un paramètre à considérer pour ajuster votre façon de faire.
Pas besoin de tout révolutionner pour enclencher un vrai changement. Ce sont souvent les petites actions répétées qui transforment tout.
Marcher 20 minutes par jour
Ajouter une portion de légumes à chaque repas
Méditer 5 minutes le soir
Ces gestes paraissent anodins, mais leur effet cumulé sur votre énergie, vos hormones et votre moral est énorme.
Pensez à ces micro-changements comme à des graines, au début, on ne voit pas grand-chose… mais avec le temps, elles transforment complètement le paysage.
On a tendance à croire que pour changer après 40 ans, il faut tout chambouler... reprendre le sport à fond, faire un "grand ménage" dans l’alimentation, se lever à 5h du matin…
Et si je vous disais que c’est souvent l’inverse qui fonctionne ?
Les vrais changements durables commencent par des actions minuscules… mais régulières.
Voici 5 micro-actions simples, à portée de main, pour lancer un cercle vertueux dès aujourd’hui :
Pas besoin d’un programme sportif militaire pour remettre votre corps en mouvement.
Ce qu’il aime, c’est la régularité. Même 5 à 10 minutes peuvent suffire à enclencher une transformation.
Idées toutes simples :
Danser sur votre chanson préférée pendant que le café coule.
Faire 10 squats ou étirements au réveil.
Marcher pendant que vous téléphonez.
Plus vous bougez, plus votre corps répond positivement… et plus votre moral suit.
C’est le piège le plus fréquent, décider qu’à partir de lundi, on va tout révolutionner (alimentation parfaite, sport quotidien, méditation, zéro sucre, zéro écran…).
Le problème ? C’est impossible à tenir.
Votre corps et votre cerveau n’aiment pas les bouleversements brutaux, surtout après 40 ans, quand les habitudes sont bien ancrées.
Et là, on connaît le résultat, on s’épuise, on culpabilise et on retourne aux anciens schémas
Mon conseil, c’est alors de vous concentrer sur un seul petit changement par semaine.
Et quand celui ci il est bien intégré, passez au suivant. C’est ainsi que les transformations durent.
Exemples :
Remplacer une boisson sucrée par de l’eau plate.
Ajouter une poignée de légumes à votre assiette.
Remplacer le sucre du café par un peu de cannelle.
Chaque petit ajustement devient une victoire… et vous met en confiance pour le prochain.
Votre objectif ici est d'ancrer le changement sans frustration, pour que ça devienne votre nouvelle norme.
Nous l’avons vu plus haut, la neuroplasticité ne s’arrête pas à 40 ans (ni à 60, ni à 80 !).
Apprenez un mot d’une langue étrangère, testez une recette inédite, faites un puzzle, jouez d’un instrument, lisez sur un sujet que vous ne connaissez pas.
Chaque petite nouveauté entretient votre mémoire, votre concentration et votre ouverture au changement.
Ma petite astuce toute simple, remplacez 10 minutes de scrolling sur votre téléphone par 10 minutes d’apprentissage, et observez la différence au bout d’un mois.
Vous pouvez avoir toute la motivation du monde… si votre environnement vous tire vers le bas, ce sera difficile.
Votre environnement influence directement votre énergie et vos choix.
Cherchez la compagnie de personnes qui vous inspirent, qui vous motivent et qui croient elles aussi qu’un changement après 40 ans est possible.
Et si vous n’avez pas encore ce cercle, commencez en ligne (un groupe Facebook, un podcast, une newsletter motivante, le club by Alexia…).
D'ailleurs, vous pouvez faire le tri dans vos relations comme dans vos placards ! Gardez ce qui vous nourrit vraiment, et mettez de côté ce qui vous épuise.
Vous verrez, changer après 40 ans devient tellement plus simple quand on se sent portée par l’énergie des autres.
Le piège, c’est de viser trop haut, trop vite. Et là, on connaît toutes la finalité… découragement express.
Le changement se construit sur la fierté d’avancer, pas sur la frustration de ne pas aller “assez vite”.
Alors, chaque soir, notez une petite victoire de la journée :
"J’ai marché 15 minutes"
"J’ai cuisiné un déjeuner maison"
"J’ai dit non à quelque chose qui ne me convenait pas"
Ce rituel de gratitude nourrit votre motivation et installe un cercle vertueux. Et plus vous vous félicitez, plus vous aurez envie de continuer.
Les petits pas répétés créent un effet boule de neige… et c’est ainsi que le vrai changement après 40 ans s’installe.
Rien n’est plus démotivant que de passer son temps à se mesurer à des photos d’Instagram… ou à la version de vous à 25 ans.
Votre corps d’aujourd’hui n’est pas moins "valable", il est juste différent, avec une autre histoire et d’autres besoins.
La comparaison ne sert qu’à créer de la frustration.
Le vrai point de référence, c’est votre progression personnelle.
Est-ce que vous vous sentez plus en forme qu’hier ? Plus sereine qu’il y a un mois ? Voilà ce qui compte.
Depuis des années, certaines phrases se sont imprimées dans votre esprit :
"À ton âge, c’est trop tard",
"Tu es comme ça, tu ne changeras pas",
"Il faut souffrir pour être en forme".
Ces petites phrases, répétées par les autres… ou par vous-même, finissent par agir comme des freins puissants. Elles vous poussent à ne pas essayer, ou à abandonner dès la première difficulté.
Et si, au lieu de les croire, vous commenciez à les questionner ?
La prochaine fois qu’une pensée de ce genre arrive, je vous recommande de vous demandez : Est-ce un fait ou juste une vieille croyance qui ne me sert plus ?
Entre le travail, la maison, la famille… vos journées sont souvent réglées pour tout le monde sauf pour vous.
Vous passez après tout le reste.
Il est donc tout à fait normal de manquer de temps, d’énergie et d’avoir l’impression que "ce n’est pas le moment" pour amorcer un changement.
La réalité ? Le moment idéal n’existe pas.
Le changement démarre le jour où vous choisissez de vous inscrire dans votre propre agenda.
Peut-être avez-vous déjà testé des régimes, des challenges sportifs, ou des révolutions alimentaires… et vous avez fini par revenir à vos anciennes habitudes.
Ces expériences laissent souvent un goût amer, celui de "ça ne marche pas pour moi".
Mais si ce n’était pas vous le problème ? Et si c’était simplement la méthode qui n’était pas adaptée à votre corps, à votre rythme, ou à vos besoins d’aujourd’hui ?
On attend que tout soit parfait (le timing, le programme, la motivation…). Et pendant ce temps, les semaines passent et rien ne change.
Mais sincèrement, lancez-vous même si ce n’est pas parfait.
Mieux vaut un petit pas aujourd’hui qu’un grand pas "prévu" pour plus tard… et qui ne viendra peut-être jamais.
Souvent, quand on parle de changement après 40 ans, on se focalise sur ce qu’il "faudra faire" ou sur l’effort que ça demande.
Mais on oublie souvent de mettre en lumière la meilleure partie, les bénéfices, y compris ceux auxquels on ne pense pas toujours.
Parce que oui, bien sûr, bouger plus ou manger mieux peut vous aider à perdre un peu de ventre, avoir plus d’énergie ou améliorer votre sommeil.
Mais il y a aussi tous ces petits "bonus" auxquels on ne pense pas… et qui font toute la différence au quotidien.
Le simple fait de tenir un engagement envers vous-même, même minuscule, change votre posture, votre regard, et la façon dont vous vous sentez dans votre peau.
Ce n’est pas seulement votre corps qui évolue, c’est votre estime personnelle qui se reconstruit pas à pas. Et ça, c’est puissant.
Quand on se nourrit mieux, qu’on dort un peu plus ou qu’on bouge un peu chaque jour, le cerveau s’oxygène et l’esprit se libère du brouillard mental.
Et là bingo ! Vous prenez de meilleures décisions, vous gérez mieux vos émotions, et vous avez plus d’élan pour vos projets.
Quand vous êtes plus en forme, plus sereine, plus alignée, cela se reflète dans vos relations.
Vous posez plus facilement vos limites, vous choisissez mieux votre entourage, et vous attirez des personnes qui vous soutiennent dans vos choix.
Initier un changement dans un domaine, que ce soit votre alimentation, votre activité physique ou votre gestion du stress déclenche souvent un effet domino.
Peu à peu, vous prenez de l’élan, et cet élan vous pousse naturellement à faire évoluer d’autres aspects de votre vie.
Ce n’est plus une contrainte, mais un mouvement fluide et spontané.
Après 40 ans, le changement n’est pas seulement possible, il peut aussi vous offrir bien plus que ce que vous imaginiez.
Et souvent, ce sont ces bénéfices inattendus qui vous donneront envie de continuer… et bien plus qu’un chiffre sur la balance.
À 40 ans, on pense à tort que notre corps est figé et que nos habitudes sont gravées dans le marbre.
Mais je viens de vous prouver que votre corps, votre cerveau et votre énergie… peuvent encore s’adapter, apprendre et s’épanouir.
Le changement n’a pas besoin d’être brutal ou parfait.
Il commence souvent par un geste minuscule ( boire un verre d’eau de plus, marcher 10 minutes, dire non à quelque chose qui ne vous convient plus...).
Et ces micro-actions, répétées jour après jour, vont créer une transformation profonde, physique, mentale et émotionnelle.
Et surtout, retenez bien qu'il n’est pas question de devenir quelqu’un d’autre.
Il s’agit de redevenir pleinement vous-même… mais avec plus de clarté, d’énergie et de confiance.
Et si aujourd’hui, vous faisiez ce premier pas ? Votre corps, lui, est déjà prêt à vous suivre...j'en suis persuadée 😉
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