L’été, avec la chaleur, les journées plus longues et parfois le rythme qui s’accélère, on pense souvent à s’hydrater… mais pas toujours comme il faut.
"Un café ce matin, une infusion à midi, un Perrier citron au goûter… je suis bonne là, non ?"
Et pourtant, vous vous sentez ballonnée, un peu lourde, fatiguée, la peau terne… Bref, votre corps réclame autre chose.
Pas du jus, pas des bulles, pas du thé. Juste de l’eau. Nature. Plate. Sans arôme ni édulcorant.
Dans cet article, on parle hydratation (la vraie!). Celle qui soutient vos hormones, votre digestion, votre peau, votre énergie… surtout après 40 ans.
On l’oublie souvent, mais notre corps est littéralement construit pour fonctionner à l’eau.
Chaque cellule, chaque organe, chaque système interne a besoin de ce carburant liquide pour faire son job correctement.
Et pourtant… on n’y pense pas.
Jusqu’à ce que des petits signes s’installent dans notre quotidien :
La tête un peu lourde
Une concentration en vrac
Un brouillard mental tenace
Une peau terne
Une digestion molle
Une fatigue que même le café ne sauve plus
Et si vous ne le savez pas encore, le cerveau est composé à plus de 75 % d’eau.
Donc dès qu’il commence à en manquer, il tire la sonnette d’alarme… sauf qu’on n’écoute pas toujours.
D’ailleurs, une étude de l’Université du Connecticut (2012) a montré qu’une déshydratation de seulement 1,5 % du poids corporel pouvait déjà impacter l’humeur, la concentration et la cognition.
Bref, pas besoin d’avoir hyper soif pour être déjà "à sec" de l’intérieur.
Et ce n’est pas tout. La peau, le foie, les muscles, le transit, le métabolisme… tout tourne à l’eau.
Sans elle ? Rien ne circule bien. Tout devient lent, confus, engorgé.
Alors boire suffisamment, c’est offrir à votre corps les conditions idéales pour fonctionner à son plein potentiel, sans bruit de fond désagréable, sans fatigue chronique planquée, sans ballonnement permanent.
Alors oui, c’est basique.
Mais dans un monde où on cherche toujours des solutions compliquées… c’est peut-être le geste le plus puissant que vous puissiez faire aujourd’hui.
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On a souvent l’impression qu’en buvant une infusion, un café ou même un soda light, on coche la case "hydratation".
Mais votre corps, lui, n’est pas dupe. 😉
Alors oui, ces boissons contiennent de l’eau. Mais elles sont aussi souvent diurétiques, excitantes ou même déséquilibrantes.
En clair, elles vous rafraîchissent peut-être sur le moment, mais elles ne nourrissent pas vraiment vos cellules.
Alors, quelles boissons hydratent vraiment ? Et lesquelles vous dessèchent sans que vous le sachiez ?
On passe en revue les grands classiques :
Le café, au-delà de 1 ou 2 tasses par jour, stimule votre système urinaire et accélère l’élimination… y compris de l’eau dont vous avez besoin.
Et si vous êtes déjà un peu stressée ou fatiguée, son effet peut être carrément amplifié. Pas l’idéal pour une bonne hydratation.
Les tisanes "détox", les thés riches en tanins, ou les infusions aux effets drainants peuvent assécher les tissus à la longue.
Ce n’est pas forcément grave, mais ce n’est pas non plus ce que votre corps attend quand il a soif.
Vous pensez bien faire ? "Au moins, je n’ajoute pas de sucre."
Et pourtant… c’est souvent un piège.
Les édulcorants qu’ils contiennent (aspartame, sucralose, acésulfame K…) sont loin d’être neutres :
Ils activent votre cerveau comme s’il recevait du sucre
Ils peuvent stimuler l’insuline, sans sucre réel à traiter
Ils déséquilibrent votre microbiote intestinal (digestion, immunité, humeur...)
Ils peuvent aggraver la rétention d’eau
Et ils sont soupçonnés d’augmenter l’appétit, notamment chez les femmes sensibles aux variations hormonales (SPM, ménopause…)
Et ce n’est pas juste une intuition, la science a mis le doigt dessus. Une étude publiée dans le Yale Journal of Biology and Medicine (2010) a bien décrit ce cercle vicieux…
Votre système hormonal est déjà à fleur de peau (fatigue chronique, SPM, ménopause...) ? Alors ces faux signaux n’aident pas du tout.
Moralité ? Même sans sucre, ces boissons sont loin d’être anodines. Et elles n’hydratent pas mieux, bien au contraire.
Elles brillent par leur marketing… mais pas par leur bienfaits physiologiques.
La plupart sont saturées en caféine, en taurine, en sucre (ou édulcorants), et parfois même en vitamines de synthèse que votre corps absorbe mal.
Et côté effets ? Pas de quoi fanfaronner :
Stress surrénalien (coup de fouet → grosse chute d’énergie ensuite)
Troubles cardiovasculaires (palpitations, insomnie, tension)
Hyperstimulation du système nerveux → suivie d’un vrai effondrement de la vitalité
C’est donc le genre de boisson à vraiment laisser de côté si vous êtes en pré-ménopause, en pleine ménopause ou dans une période de fatigue chronique.
Car à ces moments-là, votre système hormonal est déjà en pleine adaptation.
Ce dont il a besoin ? Du calme, de la stabilité, du soutien.
Pas de pics d’énergie suivis de crashs brutaux. Bref, pas de montagnes russes métaboliques.
Je vous vois venir : "Et l’eau pétillante alors ? C’est de l’eau, non ?"
On pourrait croire qu’une eau gazeuse c'est comme de l'eau plate "mais plus fun".
Mais votre corps, lui, ne l’accueille pas forcément à bras ouverts. Et côté digestion, ça peut vite se compliquer. Je vous explique :
Derrière ses bulles festives, l’eau gazeuse contient du dioxyde de carbone. Et une fois dans l’estomac, il se transforme en acide carbonique.
Et c’est là que les choses peuvent se compliquer :
D'ailleurs, sachez qu'en période de stress, de déséquilibres hormonaux ou de digestion fragile, l’eau gazeuse peut amplifier les inconforts au lieu de les apaiser.
Même sans sucre, sans sel, ni additif, les bulles, elles, occupent de l’espace.
Et à force d’enchaîner les verres, votre ventre peut se sentir un peu…à l’étroit. Surtout en fin de journée.
De plus, sachez que si vous travaillez sur votre périnée ou votre transverse, cette pression d’air constante dans les intestins peut même freiner vos progrès. Donc autant oublier. 😆
Autre piège insidieux, les bulles et les arômes naturels (ou pseudo-naturels) activent le système de récompense du cerveau.
Et à force, vous perdez le plaisir simple d’un verre d’eau plate.
Votre cerveau en redemande (je veux plus de goût, plus de sensation ! …mais votre corps, lui, n’a toujours pas eu ce qu’il attendait. De l’eau, la vraie !
C’est un peu le même mécanisme que pour le sucre ou les aliments ultra-transformés.
On confond le plaisir immédiat avec le vrai besoin physiologique. Et en matière d’hydratation, cette confusion peut finir par vous desservir.
Même si elle est "naturelle", "sans sucre" ou "faible en sel", l’eau gazeuse ne remplit pas les mêmes rôles que l’eau plate. Elle hydrate...mais pas complètement.
Les recommandations officielles, comme celles de l’ANSES, sont d’ailleurs claires : L’eau plate reste la référence quand il s’agit d’hydrater efficacement votre corps.
Peut être légèrement diurétique, surtout si elle est riche en sodium (donc… vous éliminez autant que vous buvez)
A un pouvoir d’absorption cellulaire plus faible : vos cellules captent moins bien l’eau
Peut donner une fausse impression de satiété ou de soif comblée (alors que votre corps attend toujours son quota)
Et ce n’est pas juste une impression, même la science le confirme.
Une méta-analyse parue en 2021 dans le Journal of Nutrition and Metabolism a montré que, parmi toutes les options, c’est l’eau plate qui sort du lot. La seule à être vraiment liée à des bénéfices clairs et durables pour votre corps.
✔️ une meilleure fonction rénale
✔️ un transit plus régulier
✔️ une peau plus lumineuse
✔️ une régulation thermique plus stable (bye-bye les coups de chaud)
Bref, l’eau gazeuse peut avoir sa place…mais elle ne fait pas le même job que l’eau plate.
Bien sûr, ce n’est pas interdit. Une eau pétillante de temps en temps, pour le plaisir ou en apéro, pourquoi pas.
Mais soyons honnêtes, ce n’est pas elle qui va vraiment hydrater votre corps.
Si vous cherchez à nourrir vos cellules, soutenir votre digestion, drainer, rayonner…C’est l’eau plate qui fait le job, et elle seule.
Et si votre palais est accro aux bulles ? Pas de panique. Donnez-lui quelques jours pour se réhabituer à la simplicité.
Quand votre corps commencera à sentir la différence… vous verrez, ce sera lui qui en redemandera.
Je sais, dit comme ça, ça peut sembler contre-intuitif. On pense souvent : "Si je me sens gonflée, c’est sûrement que je bois trop !" Eh bien non…c’est même souvent tout l’inverse
Quand vous ne buvez pas assez, votre corps passe en mode alerte. Il se met à retenir l’eau comme s’il anticipait une sécheresse. La suite logique ? Rétention d’eau, jambes lourdes, ventre gonflé, sensation de flottement ou d’inconfort généralisé... Bref, la cata !
Boire suffisamment, c’est justement envoyer un message de sécurité à votre corps. Il comprend qu’il peut relâcher la pression, qu’il n’a plus besoin de stocker.
C’est un peu comme activer un bouton "drainage naturel" :
Vos reins filtrent mieux
Votre transit devient plus fluide
Votre lymphe circule plus librement
Et souvent, le bonus est bien visible, un ventre plus léger, un visage moins bouffi, une silhouette plus dégonflée.
Alors si vous faites partie de celles (ou ceux !) qui limitent leur consommation d’eau par peur de gonfler, testez l’inverse pendant quelques jours.
Buvez davantage mais en petites gorgées, réparties tout au long de la journée. Et observez !
Vous verrez que votre corps pourrait bien vous surprendre. 🤗
On sous-estime à quel point boire de l’eau (plate !), peut faire circuler l’énergie. Pas juste pour "ne pas avoir soif", mais pour faire tourner la machine (hormones, digestion, silhouette), tout est concerné.
Je vous fais le tour rapide, mais c’est du concret :
Le foie, déjà. Il a besoin d’eau pour faire son job de tri et surtout métaboliser les hormones (œstrogènes, progestérone…). Moins d’eau = hormones en pagaille.
Les intestins ? Pareil. Sans eau, ça stagne, les toxines s’accumulent, les ballonnements s’installent, et tout devient lent.
Les muscles, eux, se régénèrent mille fois mieux après un effort quand l’eau circule bien.
Et la peau, évidemment. L’hydratation interne, c’est ce qui fait la différence entre un teint terne et un glow naturel (même sans highlighter, oui oui).
Et là, tenez-vous bien !
Une étude a montré que boire 500 ml d’eau en une seule prise (soit un grand verre et demi, rien de fou) pouvait augmenter le métabolisme de repos de 30 % pendant plus d’une heure.
Oui, vous avez bien lu. Un simple verre d’eau et votre digestion s’active, votre énergie revient, votre corps relance la machine à brûler.
Bref, pas besoin de gélules ou de jeûne intermittent, juste de l’eau, au bon moment.
À la ménopause, ou même un peu avant, votre régulateur thermique commence à faire sa diva. Bouffées de chaleur, sueurs nocturnes, sensations de surchauffe... pas glam du tout.
Et devinez quoi ? La déshydratation les amplifie.
Quand vous ne buvez pas assez, votre corps n’a plus les moyens de gérer sa température correctement. Il monte dans les tours… et vous le sentez passer.
C'est pourquoi boire de l’eau, c’est comme lui donner les moyens de se calmer. Ça ne fait pas tout, certes, mais ça change beaucoup !
Vous verrez alors apparaître moins de bouffées de chaleur, et surtout, elles seront moins intenses.
Et franchement, à ce stade-là, chaque degré compte. 😉
Disons le, l’eau, aujourd’hui, n’a plus vraiment la cote.
On veut du goût, de la bulle, du peps, du fun à chaque gorgée.
Notre cerveau est sur-sollicité non-stop. Alors forcément… un verre d’eau plate, ça fait pas vibrer.
Mais ce n’est pas de votre faute.
On vous a conditionnée à chercher de la stimulation constante. Du sucre, des arômes (même artificiels), des textures, des couleurs… tout ça, ça active la dopamine, la molécule du plaisir immédiat.
Et à côté de ça, l’eau passe pour… fade. Trop neutre. Pas assez sexy. Pas assez "wahou".
Pourtant, c’est exactement ce dont votre corps a besoin. De la simplicité. De la pureté. Du vrai carburant.
Mais à force d’enchaîner les boissons qui flattent le palais, on désapprend à écouter nos vrais signaux internes.
On boit plein de trucs. Mais on reste fatiguée. Gonflée. Et toujours déshydratée.
On parle souvent d’"avoir une bonne hydratation", mais ça veut dire quoi, en vrai ?
👉 1,5 à 2 litres d’eau plate par jour,
A ajuster selon vos besoins (chaleur, activité physique, alimentation salée, phase hormonale...).
(Spoiler : si vous êtes en SPM, pré-ménopause ou que vous transpirez plus, vous aurez besoin d’un peu plus.)
Regardez vos urines :
Et non, attendre d’avoir soif n’est pas un bon indicateur.
Car la soif, c’est déjà un signal de déshydratation en cours. Autrement dit, votre corps vous alerte après coup.
Donc mieux vaut anticiper en buvant régulièrement, par petites gorgées tout au long de la journée.
Et attention, pas besoin de vous forcer ni de tout boire d’un coup. Prenez juste le temps de retrouver le réflexe, tranquillement.
Boire de l’eau, ce n’est pas "moins bien" que les boissons à la mode.
C’est revenir à l’essentiel, au bon sens, à ce que votre corps attend vraiment.
Tout ça peut commencer… par un simple verre d’eau.
Et oui, parfois, ce sont les gestes les plus simples qui font toute la différence.
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