Vous avez souvent l’impression d’être vidée avant même d’avoir commencé la journée ?
Malgré vos nuits correctes et une alimentation plutôt saine, la fatigue persistante s’installe ?
Beaucoup de femmes autour de la quarantaine décrivent cette sensation d’épuisement diffus, comme si leur corps tournait au ralenti.
Et si cette fatigue ne venait pas d’un excès d’activité… mais au contraire d’un manque de mouvement ?
Rester trop longtemps assise, bouger peu, ou ne pratiquer que ponctuellement finit par ralentir la circulation, dérégler la respiration et fragiliser le métabolisme.
Et oui, le corps a besoin de mouvement pour produire de l’énergie !
Dans cet article, je vous explique pourquoi la sédentarité peut fatiguer votre organisme, et comment le mouvement doux et régulier peut devenir votre meilleur allié pour retrouver vitalité et légèreté.
Vous avez cette impression d’être fatiguée… tout le temps ?
Même après une bonne nuit de sommeil, votre corps reste lourd, votre tête embrumée.
Vous vous dites que c’est sûrement "l’âge", ou la faute au travail, aux enfants, au stress.
Mais en réalité, cette fatigue persistante n’a rien d’anormal… elle a même une explication !
Autour de la quarantaine, le corps féminin entre dans une zone de transition.
Les hormones, qui régulent presque tout (sommeil, humeur, température, digestion, récupération) commencent à fluctuer.
Et ce qui vous donnait de l’énergie avant ne fonctionne plus tout à fait pareil.
Vous pouvez dormir huit heures, manger correctement et pourtant vous lever sans entrain. Ce n’est pas dans votre tête, c’est biologique !
En effet, quand les œstrogènes commencent à baisser, le sommeil devient plus léger, le métabolisme ralentit un peu et la récupération après l’effort prend plus de temps.
Mais ce qui est chouette, c’est qu’il répond très bien dès qu’on lui redonne du mouvement, du souffle et du calme.
On pense souvent qu’être fatiguée, c’est manquer de repos.
Mais dans la réalité, ce n’est pas seulement une question de sommeil : c’est souvent le rythme de vie qui épuise.
Les journées à courir, les repas pris trop vite, les heures passées assise sans bouger… tout cela use le corps, sans qu’on s’en rende compte.
Petit à petit, la respiration devient alors plus courte, la digestion se ralentit, la tête reste en tension.
Et comme on se sent fatiguée, on bouge encore moins.
C’est souvent là que la fatigue persistante s’installe.
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Quand on se sent fatiguée, la première idée qui vient, c’est de se reposer.
Et c’est plutôt logique. Sauf que parfois, le repos n’est plus ce dont le corps a besoin, ou du moins, pas seulement.
Chez beaucoup de femmes autour de 40 ans, la fatigue persistante s’installe justement parce que le corps bouge trop peu.
Je vous explique.
En faite, le corps humain n’a pas été conçu pour rester immobile.
Il a besoin de mouvement pour bien faire circuler le sang, oxygéner les cellules, réguler la température, et même… fabriquer de l’énergie.
A contrario, quand on bouge peu, la respiration devient plus courte, les muscles perdent leur tonus, et le métabolisme tourne au ralenti. C’est un peu comme si votre feu intérieur manquait d’oxygène.
Alors plus vous restez sédentaire, plus la moindre action devient un effort, et c'est là que la fatigue gagne du terrain.
La circulation se ralentit → les muscles et le cerveau reçoivent moins d’oxygène.
Les muscles profonds (dont le diaphragme et les abdos) se "désactivent", ce qui gêne la respiration naturelle.
Le système lymphatique (celui qui nettoie les déchets du corps) devient paresseux.
Et le stress, lui, augmente, faute de soupape physique pour s’évacuer.
Le mouvement, ce n’est pas qu’une histoire de muscles.
Chaque fois que vous bougez, votre cerveau libère des hormones du bien-être (dopamine, sérotonine, endorphines) qui apaisent, motivent et clarifient les idées.
Mais quand on bouge peu, tout se fige un peu.
Le moral baisse, les pensées tournent en rond, et la moindre tâche demande un effort.
Ce n’est pas un manque de volonté, c’est juste votre cerveau qui manque de mouvement pour se régénérer.
Alors bien entendu, si vous vivez une période de fatigue, inutile de forcer.
Votre corps n’a pas besoin qu’on le bouscule, il a besoin qu’on le réveille en douceur.
Oubliez les séances intenses ou les défis impossibles !
Commencez doucement, avec cinq à dix minutes de marche, quelques respirations profondes et quelques mouvements pour réveiller le corps le matin.
Ces gestes simples suffisent à relancer la circulation, à oxygéner vos cellules et à remettre un peu de tonus là où tout semblait à plat.

Quand on pense "retrouver la forme", on imagine souvent qu’il faut transpirer, brûler, forcer.
Mais attention, après 40 ans, c’est souvent tout l’inverse… plus on pousse son corps, plus on l’épuise.
Maintenant, votre corps a besoin d’un autre type d’énergie, celle qu’on cultive, pas celle qu’on consomme.
Et c’est exactement ce que le mouvement doux permet de faire.
Pendant des années, on nous a répété que "plus on en fait, mieux c’est".
Mais clairement, avec les changements hormonaux de la quarantaine, ce modèle ne tient plus.
Les efforts intenses (cardio violent, HIIT, entraînements trop longs) augmentent le cortisol, l’hormone du stress.
Et quand le cortisol reste trop haut, il empêche le corps de récupérer, perturbe le sommeil et accentue… la fatigue.
C’est ainsi qu’un entraînement peut devenir carrément contre-productif. Pas très sympathique tout ça…
Alors je vous arrête tout de suite, le mouvement doux, ce n’est pas "moins efficace".
C’est simplement une autre manière de réveiller votre corps, plus respectueuse de ce dont il a vraiment besoin aujourd’hui.
Marcher consciemment, respirer plus profondément, bouger les articulations, pratiquer le Pilates, le renforcement musculaire ou le yoga doux… tout cela stimule la circulation, libère les tensions et apaise le système nerveux.
C'est comme ça que votre corps va alors recommencer à produire de l’énergie, mais sans pour autant taper dans ses réserves.
Et la différence, vous la sentez tout de suite ! Vous sortez d’une séance plus légère, plus stable, plus claire dans votre tête, sans être vidée.
C’est exactement ce dont le corps féminin a besoin après 40 ans, retrouver de l’énergie, pas la dépenser.
Quand la fatigue persistante s’installe, on a tendance à attendre "le bon moment” pour se remettre au sport"... quand on aura plus d’énergie, moins de stress, plus de temps…
Malheureusement, c’est souvent l’inverse : c’est le mouvement lui-même qui fait revenir l’énergie.
Beaucoup de femmes que j’accompagne me disent : "Je n’ai pas l’énergie de faire du sport, je suis déjà épuisée."
C’est une phrase que j’entends souvent, et je la comprends.
Mais le corps ne demande pas forcément une heure de sport, juste un petit signal de mobilité.
Pour commencer, respirez vraiment !
Beaucoup de femmes respirent mal, sans même s’en rendre compte.
Le souffle reste bloqué dans le haut du thorax, alors que c’est le diaphragme (et même le périnée) qui devraient mener la danse.
En réapprenant à respirer plus profondément, le corps s’oxygène mieux, le mental se calme et l’énergie revient doucement.
Ensuite, trouvez votre rythme.
Bouger un peu chaque jour vaut bien mieux qu’une séance intense une fois de temps en temps.
Dix minutes, c’est déjà beaucoup quand c’est fait régulièrement et avec intention.
C’est la constance, pas la performance, qui fait la vraie différence.
Et pour finir, soyez à l’écoute.
Certains jours, le corps réclame de la douceur. D’autres, il a besoin de se sentir vivant, tonique.
Apprenez à composer avec lui, plutôt que de lutter contre lui… c’est là que le mouvement devient intelligent.
Levez-vous toutes les heures si vous travaillez assise.
Respirez profondément en attendant le feu vert ou dans les files d’attente.
Étirez vos bras au-dessus de la tête chaque matin… ou encore mieux, offrez-vous une petite morning routine.
Marchez un peu plus souvent, prenez les escaliers quand c’est possible, et laissez l’ascenseur de côté de temps en temps…
Je sais, ces gestes peuvent sembler simples, presque insignifiants… mais mis bout à bout, ils créent un vrai rythme d’énergie stable.
Le corps adore la constance, pas la perfection !
Comme nous l’avons vu tout au long de cet article, le mouvement est un pilier essentiel, mais il ne fait pas tout.
Pour retrouver une énergie vraiment durable, il faut aussi regarder le reste : le sommeil, l’alimentation, la respiration, le stress… tout est lié.
Car le corps ne fonctionne jamais en "morceaux séparés" : il cherche en permanence l’équilibre.
Un sommeil profond et réparateur, ce n’est pas un luxe, c’est un carburant.
Essayez de garder des horaires réguliers, d’éteindre les écrans un peu plus tôt et de laisser à votre corps le temps de décrocher.
C’est souvent pendant la nuit que le système hormonal se rééquilibre et que l’énergie se recharge.
L’alimentation joue un rôle énorme sur la fatigue.
En réduisant les sucres rapides et les produits ultra-transformés, et en privilégiant les aliments frais, colorés et anti-inflammatoires, vous offrez à votre corps ce dont il a vraiment besoin pour fonctionner avec légèreté.
Mangez pour nourrir, pas pour remplir, c’est une nuance, mais elle change tout.
Prenez quelques minutes chaque jour pour respirer profondément.
Une respiration ample et régulière oxygène mieux les cellules, calme le mental et redonne de la clarté.
Et n’oubliez l'hydratation ! Un corps bien hydraté, c’est un corps qui circule, qui élimine et qui récupère mieux.
Enfin, l’énergie ne se résume pas au physique.
Le stress, les pensées en boucle, la charge mentale… tout cela pompe votre vitalité sans que vous vous en rendiez compte.
Prenez le temps de ralentir, de respirer, de marcher seule ou simplement de ne rien faire pendant quelques minutes.
C’est souvent dans ces moments-là que l’énergie revient d’elle-même.
La fatigue persistante n’est pas une faiblesse, ni un manque de courage.
C’est simplement le signe que votre corps a besoin qu’on le regarde autrement, avec plus d’attention et de douceur.
Bien souvent, le problème n’est pas que vous en faites trop… mais que vous ne bougez plus en accord avec lui.
N'oubliez pas que votre énergie n’a pas disparu, elle dort simplement en vous.
Il suffit de lui laisser un peu d’espace, un peu de souffle, pour qu’elle revienne naturellement.
Prenez ce temps-là, pour bouger sans pression, pour respirer un peu plus profondément, pour retrouver le plaisir de vous sentir vivante.
Parce qu’après 40 ans, le bon mouvement ne fatigue pas : il réveille, il apaise, et il redonne envie de vivre pleinement.
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