On en entend parler partout : " Mangez anti-inflammatoire, c’est bon pour la santé ! "
Mais au fond… qu’est-ce que ça veut vraiment dire ?
Et surtout, est-ce que ça marche quand on traverse la périménopause ou la ménopause, avec ses lots de douleurs articulaires, de fatigue chronique, de petits bobos digestifs ?
Et bien OUI, l’alimentation anti-inflammatoire peut vraiment changer la donne. Pas de baguette magique (désolée 😅), mais de vrais leviers concrets pour apaiser l’inflammation de bas grade, celle qui fatigue votre corps à petit feu.
Dans cet article, je vais vous expliquer ce que c’est exactement, quels aliments privilégier, lesquels éviter… et surtout comment appliquer ça sans vous compliquer la vie.
On entend souvent parler "d’inflammation", mais on ne sait pas toujours ce qui se cache derrière ce mot un peu médical. Alors remettons les choses au clair.
L’inflammation, à la base, c’est quelque chose de très utile, c’est la réaction naturelle de votre corps quand il doit se défendre. Par exemple, quand vous vous coupez ou que vous attrapez une infection, vos cellules s’activent pour réparer et protéger. Jusque-là, tout va bien.
Le problème, c’est quand cette réaction devient chronique. Elle ne s’arrête plus vraiment, elle s’installe en continu, de façon silencieuse. Vous ne la voyez pas forcément, mais vous la ressentez… Fatigue persistante, douleurs articulaires, troubles digestifs, sommeil perturbé… et même un vieillissement accéléré. Bref, un corps qui tourne en surrégime.
Et c’est là que l’alimentation anti-inflammatoire entre en jeu. Son objectif est tout simple, diminuer les aliments qui entretiennent cette inflammation (comme les produits ultra-transformés ou trop sucrés) et remplir votre assiette de ceux qui vont l’apaiser (légumes colorés, bons gras, fibres, protéines de qualité).
Donc non, ce n'est pas encore un régime à la mode, mais une façon de manger qui aide vraiment votre corps à retrouver de l’énergie, à calmer les douleurs et à fonctionner plus sereinement au quotidien.
L'inflammation chronique, ça peut paraître un peu théorique… mais dans la vraie vie, ça change quoi ?
Eh bien, une alimentation anti-inflammatoire, c’est du concret, et vous allez vite le ressentir dans votre quotidien.
Si vous avez des raideurs le matin, des tendinites qui reviennent sans prévenir ou même de l’arthrose qui se fait sentir, l’alimentation anti-inflammatoire peut vraiment vous soulager.
Ce n’est pas magique du jour au lendemain, mais petit à petit, vos articulations deviennent plus souples, vos muscles moins douloureux, et vous retrouvez de la liberté dans vos mouvements.
Vous voyez ces coups de barre qui vous tombent dessus après un repas trop sucré ou trop lourd ? Avec une assiette anti-inflammatoire, votre énergie se stabilise.
Vous vous sentez plus légère, plus dynamique, et surtout… vous tenez mieux toute la journée sans grignoter toutes les deux heures.
À la ménopause, beaucoup de femmes me disent : "Alexia, j’ai l’impression d’avoir perdu ma mémoire, je n’arrive plus à me concentrer." Là encore, l’inflammation joue un rôle.
En calmant ce terrain inflammatoire avec la nourriture, vous aidez aussi votre cerveau. Plus de clarté, une mémoire plus vive, et moins cette sensation d’être "dans le coton".
À partir de la périménopause, les risques cardiovasculaires augmentent (merci la chute des œstrogènes…). L’alimentation anti-inflammatoire, avec ses bons gras comme les oméga-3, aide à protéger vos artères, à réguler le cholestérol et à prendre soin de votre cœur.
Et ça, c’est un vrai cadeau que vous vous faites pour l’avenir.
Et oui, ça se voit aussi à l’extérieur ! Parce que l’inflammation accélère le vieillissement des cellules. En nourrissant votre corps avec des antioxydants (fruits, légumes colorés, épices comme le curcuma), votre peau retrouve de l’éclat, vos cheveux et vos ongles sont plus forts… bref, vous rayonnez de l’intérieur.
Et le bonus ? Vous n’avez pas besoin d’être parfaite pour en profiter. Même de petits changements dans vos repas font déjà une vraie différence.
Alors, commencez là où vous êtes, avec ce que vous pouvez… et observez les effets !
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Les légumes et les fruits sont de véritables boucliers naturels. Leurs couleurs ne sont pas là par hasard, derrière le orange de la carotte, le vert du brocoli ou le rouge de la betterave, se cachent des antioxydants puissants qui luttent contre l’inflammation.
C’est pour cela qu’à chaque repas, je vous recommande d’essayer d’avoir au moins deux couleurs différentes dans votre assiette.
Par exemple, courgettes + poivron, ou carottes + brocolis. Plus il y a de couleurs, plus vous multipliez les nutriments protecteurs.
Les protéines, c’est votre matériau de construction.
Sans elles, pas de muscles solides, pas de cellules qui se réparent correctement.
Mais attention, toutes les protéines ne se valent pas.
Misez sur les protéines dites "propres" :
Animales comme les œufs, la volaille, ou les poissons gras (saumon, sardines, maquereaux).
Végétales comme les lentilles, pois chiches, tofu, quinoa, qui apportent aussi fibres et minéraux.
Pour un profil protéique complet, le mieux est de combiner végétal + céréales (par exemple lentilles + riz complet).
Pendant longtemps, on a pointé du doigt le gras comme "l’ennemi numéro 1". Mais en réalité, il y a des bons gras dont votre corps a vraiment besoin pour bien fonctionner.
Les bons gras nourrissent vos cellules, protègent votre cerveau et vos hormones, et calment l’inflammation.
Où les trouver ?
Dans les huiles végétales de qualité (colza, noix, olive extra-vierge).
Dans les oléagineux : une poignée d’amandes ou de noix chaque jour suffit.
Dans l’avocat, parfait pour vos salades ou sur une tranche de pain complet.
Dans les poissons gras, riches en oméga-3.
L’idée, ce n’est pas d’en mettre en excès, mais d’ajouter une petite dose de bons gras à chaque repas.
Les féculents ne sont pas vos ennemis, bien au contraire ! Mais pour réduire l’inflammation, là aussi il faut choisir la bonne version.
Les féculents raffinés (pain blanc, pâtes classiques, riz blanc) provoquent des pics de glycémie qui fatiguent le corps et entretiennent l’inflammation.
Alors tournez-vous plutôt vers des alternatives anti-inflammatoires comme :
Riz complet ou semi-complet.
Pâtes semi-complètes.
Quinoa, pois cassés, patates douces.
Petit plus, pour ralentir l’absorption des sucres et stabiliser votre énergie, associez toujours vos féculents à des légumes. 😉
C’est probablement le point le plus délicat, parce que ce sont souvent les aliments qui nous réconfortent le plus… mais aussi ceux qui entretiennent une inflammation chronique.
Ce qui alimente le feu inflammatoire :
Le sucre ajouté (pâtisseries, sodas, biscuits).
Les charcuteries et viandes transformées.
Les fritures et fast-food.
Les produits ultra-transformés, souvent bourrés d’additifs et de mauvaises graisses.
Pour ne pas vous décourager au début, ne cherchez pas à bannir tout ça d’un coup. Commencez par réduire petit à petit.
Par exemple, troquez les biscuits industriels contre une poignée de noix, ou remplacez une pizza surgelée par une version maison avec pâte semi-complète et légumes colorés.
On parle souvent de ce qu’on met dans son assiette, mais il y a un truc qu’on sous estime… l’eau !
Et pourtant, croyez-moi, c’est un pilier de votre équilibre et de votre alimentation anti-inflammatoire.
Quand vous êtes bien hydratée, votre corps élimine plus facilement les déchets liés à l’inflammation.
Vos reins, votre foie, vos intestins travaillent mieux, vos articulations grincent moins, et même vos douleurs peuvent sembler plus légères.
À l’inverse, si vous buvez trop peu, vos cellules tournent au ralenti, et c’est tout votre corps qui en ressent les effets.
C’est pourquoi boire tout au long de la journée est un vrai geste santé.
L’idée, ce n’est pas de s’imposer un litre d’un coup, mais plutôt d’y aller par petites gorgées régulières. Visez environ 1,5 L par jour, et surtout privilégiez l’eau plate, nature, sans arômes ajoutés.
C’est vraiment elle qui hydrate le mieux vos cellules et soutient vos défenses.
Pour vous aider, gardez toujours une petite gourde ou un verre à portée de main. Parce que bien souvent, quand vous pensez avoir faim… en réalité, c’est juste votre corps qui réclame de l’eau 😉.
Vous vous demandez peut-être : "Ok, mais concrètement, ça ressemble à quoi une journée d’alimentation anti-inflammatoire ?"
Allez, je vous donne un exemple simple, gourmand et efficace :
Préparez un porridge tout simple avec des flocons d’avoine et un lait végétal (amande ou avoine, selon vos goûts).
Ajoutez ensuite une petite poignée de fruits rouges (frais ou surgelés), une cuillère de graines de chia et quelques noix croquantes.
Glissez le tout au réfrigérateur pour la nuit… et le lendemain matin, votre petit-déjeuner est déjà prêt, gourmand et plein de bons nutriments !
Et si vous êtes plutôt team salé, préparez-vous un bon avocado toast. C'est simple, nourrissant et parfait pour bien démarrer la journée.
Faites-vous une belle assiette colorée :
la moitié en légumes rôtis (brocolis, carottes, poivrons),
un quart en protéines (un filet de saumon ou, si vous préférez, des pois chiches),
un quart en quinoa ou riz complet.
Finissez avec un filet d’huile de colza pour les bons gras et vous avez un repas rassasiant, parfait pour éviter le coup de barre de 15h.
Rien de compliqué ! Un yaourt nature (ou végétal), un kiwi coupé en morceaux et une cuillère de graines de courge.
Rapide, vitaminé et riche en zinc, ça soutient vos défenses et cale la petite faim de l’après-midi.
Terminez avec une soupe maison de potimarron et lentilles corail, accompagnée d’une tranche de pain semi-complet et d’un filet d’huile de noix.
Et pour finir sur une touche sucrée, une clémentine ou une pomme.
De quoi nourrir le corps sans l’alourdir, et préparer un sommeil plus réparateur.
On me demande beaucoup ce qu’il faut absolument enlever de son assiette pour adopter une alimentation anti-inflammatoire.
Et ma réponse est toujours la même, inutile de tout bannir à vie.
L’idée, c’est surtout de savoir quels aliments méritent d’être consommés avec modération pour ne pas nourrir cette inflammation silencieuse qui fatigue votre corps.
Plats préparés, biscuits, sodas, snacks remplis d’additifs… plus un produit a une liste d’ingrédients interminable, moins il a sa place dans vos habitudes.
Ça encrasse vos cellules et épuise votre organisme.
Viennoiseries, pâtisseries, desserts industriels… ça donne un plaisir immédiat, mais derrière, ça entretient l’inflammation et vous laisse avec un gros coup de barre.
À la place, un fruit frais ou un carré de chocolat noir font tout aussi plaisir, sans les effets négatifs.
Les huiles raffinées (tournesol, maïs, soja) ne sont pas "mauvaises" en soi, mais consommées en excès, elles déséquilibrent le rapport avec les oméga-3 (poissons gras, noix, huile de colza).
Et ce déséquilibre, c’est l’inflammation assurée.
Un verre occasionnel ou une soirée, pas de souci. Mais au quotidien, alcool et tabac augmentent le stress oxydatif et accélèrent le vieillissement cellulaire.
Et pas besoin d’être parfaite. Le but, ce n’est pas de vous priver, mais de réduire la fréquence.
Gardez ces plaisirs pour les moments festifs, savourez-les sans culpabilité, et au quotidien, misez surtout sur ce qui nourrit vraiment votre énergie et votre santé.
Je le sais bien… dès qu’on entend "limiter", on a cette petite voix qui dit : "Ouh là, ça sent la restriction et la frustration !" .
Mais l’alimentation anti-inflammatoire, ce n’est pas un régime strict. C’est plutôt une façon de rééquilibrer vos choix au quotidien, sans vous priver des petits plaisirs.
Plutôt que de penser : "Je dois arrêter le sucre" ou "Je dois bannir les plats préparés", commencez par ajouter plus de bons aliments dans vos repas.
Des légumes colorés, un peu plus de fruits, une poignée de noix… Et vous verrez que naturellement, les aliments moins intéressants prendront moins de place dans votre quotidien.
Inutile de tout révolutionner du jour au lendemain.
Mais remplacez le pain blanc par un pain complet, les pâtes blanches par des pâtes semi-complètes, un soda par une eau pétillante avec une tranche de citron et de l'eau plate par la suite.
Vous voyez, rien de compliqué au final.
Envie de chocolat ? Prenez un carré de chocolat noir riche en cacao.
Une envie de sucré ? Un yaourt nature avec un filet de miel et des fruits frais peut faire le job.
L’idée, c’est de ne pas vous frustrer, mais d’apprendre à trouver des alternatives plus nourrissantes.
Chaque femme est différente. Alors observez comment vous vous sentez après un repas : légère, pleine d’énergie… ou plutôt ballonnée, fatiguée ?
Ce sont vos meilleurs indicateurs pour ajuster vos choix, sans vous baser sur des règles rigides.
Quand on entre dans la ménopause (et même dès la périménopause), il y a un point clé dont on ne parle pas assez : la chute des œstrogènes.
Et devinez quoi ? Ces hormones avaient un rôle super protecteur contre l’inflammation.
Donc quand elles baissent… forcément, le corps devient plus sensible, et ça se traduit dans le quotidien.
Vous l’avez peut-être déjà remarqué vous-même :
ces petites douleurs articulaires qui apparaissent plus souvent,
le risque cardiovasculaire qui grimpe doucement,
le métabolisme qui ralentit, et avec lui… les kilos qui s’installent au niveau du ventre (oui, les fameuses poignées d’amour 🙃).
Tout ça, ce n’est pas "dans votre tête". C’est physiologique.
Mais la bonne nouvelle, c’est qu’avec une alimentation anti-inflammatoire, vous pouvez vraiment agir chaque jour pour calmer ces effets, soutenir vos hormones et garder votre énergie.
Légumes verts à feuilles : épinards, chou kale, blettes → riches en fibres et en antioxydants.
Légumes colorés : carottes, betteraves, courges, poivrons → plus la couleur est vive, plus ils sont protecteurs.
Champignons (shiitakés, pleurotes, champignons de Paris) → ils soutiennent aussi l’immunité.
Brocolis et crucifères (chou-fleur, chou romanesco) → puissants alliés pour le foie et la détox.
Fruits riches en vitamine C : oranges, kiwis, clémentines → boostent vos défenses naturelles.
Fruits rouges : fraises, framboises, myrtilles, mûres → riches en polyphénols protecteurs.
Pommes et poires → faciles à digérer, pleines de fibres.
Grenade et raisins noirs → intéressants pour le cœur et la circulation.
On pense souvent que "fruits et légumes" = forcément santé. Et globalement c’est vrai !
Mais attention, certains d’entre eux peuvent entretenir un peu l’inflammation, surtout si vous en consommez en grande quantité et que votre corps y est sensible.
Par exemple, les solanacées (comme les tomates, les poivrons, les aubergines ou encore les pommes de terre) peuvent poser souci chez certaines personnes.
Parce qu’elles contiennent des substances (les alcaloïdes) qui, chez les femmes déjà sujettes aux douleurs articulaires ou digestives, peuvent accentuer les inconforts.
Cela ne veut pas dire qu’il ne faut plus en consommer, mais plutôt observer votre corps. Si par exemple vous avez plus de raideurs ou de ballonnements après en avoir mangé, réduisez un peu les quantités et voyez si ça change quelque chose.
Même chose pour les fruits très sucrés consommés en excès (comme les bananes bien mûres, les raisins ou les figues sèches). Ils ne sont pas "mauvais", mais leur charge glycémique peut entretenir une petite inflammation de fond si on en abuse.
Là encore, tout est question d’équilibre.
Vous le savez déjà, les fruits et légumes sont incontournables… mais ils ne sont pas les seuls ! Il y a plein d’autres aliments qui peuvent vraiment apaiser l’inflammation et qui, en plus, sont délicieux.
L’avocat, l’huile d’olive extra-vierge, l’huile de noix ou encore le colza sont vos alliés au quotidien.
Pensez aussi aux poissons gras comme les sardines ou le maquereau, qui regorgent d’oméga-3.
Et si vous préférez le côté "grignotage", une petite poignée de noix ou quelques graines de lin ajoutées dans une salade, c’est parfait.
Vous voulez booster vos recettes ? Misez sur le curcuma (toujours associé à un peu de poivre noir pour mieux l’absorber), le gingembre frais râpé, ou encore l’ail et l’oignon qui sont de vraies petites bombes protectrices.
Même la cannelle peut vous aider, en plus d’apporter une note réconfortante dans un yaourt ou une compote( par exemple).
C'est la bonne nouvelle, le chocolat noir (au moins 70 %) fait partie du lot ! 😁
Un carré avec le café ou après le repas, c’est à la fois gourmand et bénéfique.
Pensez aussi au thé vert pour ses puissants antioxydants.
Et si vous aimez les fruits secs (abricots, figues, dattes), gardez-les comme encas plaisir : ils sont riches en minéraux et en fibres, mais à consommer sans excès.
On les oublie trop souvent, mais ils sont précieux : yaourt nature, kéfir, choucroute crue, kimchi ou encore miso.
Ces aliments nourrissent votre microbiote, et un microbiote en forme, c’est aussi une inflammation apaisée.
Donc vous voyez, manger anti-inflammatoire ce n’est pas triste ni fade. C’est au contraire coloré, savoureux, et plein de diversité. 😉
Non, pas forcément. Ce qu’il faut éviter, c’est l’excès de sucre raffiné (sodas, biscuits industriels, viennoiseries) tous les jours.
Mais un carré de chocolat noir, une pâtisserie occasionnelle partagée entre amies, ce n’est pas ça qui entretient l’inflammation chronique.
Pensez équilibre plutôt que privation. 🙂
Oh oui, et je dirais même que c’est un vrai plus !
La ménopause peut accentuer les inflammations silencieuses (articulations douloureuses, fatigue, troubles digestifs).
Une alimentation anti-inflammatoire aide à calmer ces déséquilibres et à retrouver plus de confort au quotidien.
Pas forcément. Les fruits et légumes de saison, c’est jackpot, ils sont souvent moins chers, plein de goût et bourrés de vitamines. Et si vous manquez de temps, les surgelés font très bien l’affaire aussi (tant qu’ils sont nature, sans sauces ajoutées).
Les légumineuses (lentilles, pois chiches) sont économiques et bourrées de nutriments. Et si vous achetez vos noix ou graines en vrac, vous ferez aussi des économies.
Pas de panique ! Vous n’avez pas besoin de supprimer ce que vous aimez. L’idée, c’est d’équilibrer.
Si vous mangez un plat préparé un soir, compensez avec un déjeuner riche en légumes et en protéines de qualité.
Et si vous adorez le fromage, choisissez-en un bon, savourez-le avec une salade ou des crudités, et gardez-le en petite portion.
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